En avant première mesdames et messieurs, sur les tables à partir du 17 mars, Le Chat qui ne pouvait pas tourner d’Anne Dhoquois !
Dans la collection printemps – été d’Equinox, les éditions des Arènes nous offrent (bientôt) ce roman policier à la couverture vintage, pétante, fumante, à dévorer. Et si vous avez encore une petite faim, pas de panique la suite est déjà en train de cuir.

Ce met de qualité vous racontera Sterling, nordiste (comme moi !) à Paris (pas comme moi…), capitaine de police agité, malade de lui-même, fuyant et traquant, sur la piste d’un tueur en série de femme. À ce qu’il paraît, la fin n’est pas du tout ce qu’on croit. Mais, en vous disant ça, vous imaginez tout de suite la fin inverse, et vous êtes persuadés, du coup, que c’est la bonne, et donc vous n’allez pas le lire. Mais si, vous allez le lire quand même. D’abord parce que c’est peut-être toujours pas la fin que vous imaginez, mais aussi parce que c’est super cool à lire. Anne Dhoquois mêle réflexions philosophiques, récit des faits, poésie sans charger le panier, avec une légère touche de féminité qui permet aux mots de voler de ligne en ligne.
L’éditeur nous dit, et je me permets de reprendre ses mots car je n’aurais pas dit mieux :
« Une équipe haute en couleur. Un Paris Incarné. Un mystère savamment alambiqué pour un polar aussi retors que léger. Anne Dhoquois s’inscrit d’emblée dans la lignée de ses illustres devancières, Fred Vargas et Dominique Sylvain ».
Laissez-vous tenter par ce délicieux polar pas gras pour un sous et nourrissant comme il faut. Et maintenant que la salive vous monte en bouche et commence à s’échapper sournoisement par la commissures de vos lèvres, je vous laisse attendre encore sept petits jours !
Anne Dhoquois, Le Chat qui ne pouvait pas tourner, aux éditions Les Arènes, 17/03/2022, 9791037505859, 336 pages, 14 euros
Lou