Portrait de Marine par Marie

Parce que si avant, Marine dessinait des soleils dans le sable, elle cherche maintenant le soleil un peu
partout, dans les livres et dans plein d’autres choses encore.

Si elle était un art, elle serait la musique parce qu’elle lui permet de s’évader dans un ailleurs qu’elle affectionne.

Si elle était une chanson, elle serait « On brûlera » parce qu’elle apprécie la mélancolie dont cette vibrante ode à l’amour, mêlée à la douce voix de Pomme, est empreinte.

Si elle était une couleur, elle serait le jaune comme le soleil, évidemment.

Si elle était un film, elle serait « Mes vies de chien », suivi de « Mes autres vies de chien » parce qu’elle savoure cette éprouvante ode à l’amour dans laquelle le petit Ethan, 8 ans, recueille en 1962 un chiot nommé Bailey. Au fil des années, il noue des liens très forts avec son chien, présent à chaque moment important de sa vie jusqu’au jour où, dévasté, il doit se résoudre à laisser partir Bailey, âgé et malade. Le départ de l’animal n’est qu’un commencement puisqu’il se réincarne en différentes espèces de chien. Ethan le retrouve donc dans ses vies successives pour sa plus grande émotion.

Si elle était une fleur, elle serait un tournesol, cette jolie fleur jaune qui se tourne vers le soleil, encore et toujours.

Si elle était une tendance littéraire, elle serait le feel good parce qu’elle apprécie le souffle d’espoir que donnent ces romans. Véritables hymnes à la vie, ils nous donnent bien souvent à cheminer sur soi.

Si elle était un livre, elle serait « Va au bout de tes rêves » parce qu’elle savoure la bouleversante ode à la vie que propose Antoine Filissiadis qui insiste sur l’importance de suivre ses envies dans le temps qui nous est accordé.

Si elle était une citation, elle serait « Seule la direction a un sens. Ce qui importe, c’est d’aller vers et non d’être arrivé, car jamais l’on n’arrive nulle part, sauf dans la mort. » parce qu’elle affectionne ces mots écrits par Antoine de Saint-Exupéry qui lui rappellent l’importance du sens que l’on donne à son existence.

Si elle était une qualité, elle serait l’attention parce qu’elle considère qu’il n’y a sans doute rien de plus précieux que la réelle attention que l’on porter à quelqu’un.

Si elle était un sentiment, elle serait l’amour parce qu’elle estime que c’est sans doute la sève de toutes choses en ce monde.

Marie.










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